La prise d'otages au Niger de 7 personnels d'Areva, dont 5 français, amène à s'interroger sur notre modèle de production énergétique.
Nous sommes dépendants de sources d'énergies fossiles que nous allons chercher dans des pays étrangers. Les tensions mondiales nous rendent alors otages de ces sources d'approvisionnement. Suite à cette prise d'otage, le coût d'extraction de l'uranium va encore augmenter car nous allons devoir développer des moyens de sécurisation de plus en plus sophistiqués.
Le problème se pose, et se posera de plus en plus, pour l'extraction du pétrole, comme l'a déjà montré la situation de Total au Nigéria. Quant une ressource devient de plus en plus rare, les tensions montent autour de son appropriation.
Alors que le soleil et le vent, nous l'avons chez nous, indéfiniment!